Réponse internationale au Covid-19
1ère des « 21 Master classes » dans la série « New Consciousness » (Nouvelles consciences).
Une série d’interview visant à donner une réponse internationale à la situation du Covid-19 et à mettre en lumière certains des problèmes qui en sont résultés.
BK Jayanti Kirpalani, directrice des Brahma Kumaris en Europe et représentante de cette ONG aux Nations-Unies, à Genève.
Interviewée par Philippa Blackham, réalisatrice et présentatrice à la BBC Radio pendant de nombreuses années, dont 7 ans en tant que journaliste et présentatrice pour » Woman’s Hour « .
Om Shanti et bienvenue Sister Jayanti. Suite à la réponse internationale au Covid-19, quelle a été votre réponse au confinement à Mount Abu (siège social des Brahma Kumaris en Inde)?
Le 27 mars 2020, la directrice des Brahma Kumaris, Dadi Janki, est morte à l’âge de 104 ans. Ce fut donc un soulagement de ne pas avoir à penser à voyager. Je pouvais rester sur place et voir comment les choses évoluaient. Je suis reconnaissante d’avoir été ici pour ses derniers jours, puis pour ses derniers rites. Après, cela a été une période de stabilisation, je suis donc reconnaissante d’avoir été ici.
Ce sont des moments sans précédent et en plus de cela, vous avez eu la mort de quelqu’un dont vous avez été très proche tout au long de votre vie, en tant que soutien et mentor. Avez-vous senti que votre pratique tenait bon dans cette double crise de votre vie?
Absolument, si je n’avais pas eu de longues années de pratique de la méditation, cela m’aurait été très perturbant. J’ai réussi mieux que prévu. J’ai pu me gérer, gérer mes émotions et mes sentiments tout en apportant le sentiment de sa présence chaleureuse, maintenant sous une forme subtile. Je suis reconnaissante qu’elle ait quitté pendant la période de confinement, ce qui peut sembler étrange. Mais Dadi voulait quitter paisiblement, tranquillement, sans chichi. Sachant qui elle était en tant que très grande personnalité, les gens auraient voulu voyager en avion et en train pour assister à ses funérailles. En raison du confinement, personne n’a pu voyager et son souhait a été exaucé, sans frais, complète simplicité et elle pouvait partir tranquillement avec seulement quelques-uns autour d’elle. Puis, après son départ, ce fut encore le confinement. Cela accorde du temps pour la réflexion sur les enseignements qu’elle nous a laissés et les inspirations, non seulement suivre ses traces, mais aussi suivre Celui qui est là-haut et me rapprocher de plus en plus de Lui.
Dadi Janki et vous-même avez fait la promotion de cette idée que nous, l’humanité, devons changer, et cela se produira lorsque les individus changeront et transformeront leur vie. Même là, vous devez être étonnée de la rapidité avec laquelle le changement est arrivé. Cet épisode a prouvé que le changement est possible…
Incroyable! Je n’aurais pas cru qu’un dimanche après-midi, depuis un studio à Londres, 50 000 personnes à travers le monde se joindraient à un programme de plusieurs heures sur le bien-être, comme cela s’est produit il y a quelques jours. En cela, j’ai demandé si je pouvais parler de Dieu, et la réponse a été « pourquoi pas, c’est un moment où les gens ont besoin de connaître Dieu ». Je crois que les gens sont maintenant prêts pour le silence et la méditation; prêt à comprendre qui est l’Unique là-haut et quelles sont les étapes pour se connecter avec Lui, pour faire l’expérience du pouvoir spirituel et de la connexion. Tout cela s’est produit en 6 semaines! En mars nous n’avions aucun idée qu’en 6 semaines le monde deviendrait calme et immobile.
Il y a actuellement énormément de souffrance dans le monde.
Il y a aussi une énorme quantité de nouveauté. Les gens prennent le temps de réfléchir pour voir comment est leur vie et apporter les changements à l’avenir; plusieurs disent vouloir conserver certains des changements en cours. Comment voyez-vous ce qui se passe dans le monde d’un point de vue spirituel et que pouvons-nous faire pour ancrer ce changement positif qui se produit?
Je pense que les gens sont plus conscients de la souffrance des autres, plus que jamais. Cela a ouvert une fontaine de compassion dans le cœur humain. Nous voyons les gens dans tous les services donner leur temps, énergie, amour, expertise en aidant et servant les autres, et dans certaines situations, même au détriment de leur propre santé. Partout dans le monde, des gens ont exprimé leur gratitude à ceux qui servent ainsi en première ligne. Je vois ceux prêts à offrir leur soutien et aussi ceux qui les soutiennent.
En temps de crise humaine, nous voyons souvent le meilleur de la nature humaine.
Je vois aussi que dans les familles, des liens plus importants ont été formés. J’entends aussi parler de plusieurs initiatives avec une portée mondiale, des personnes qui se réunissent à travers le monde, comme des méditations en ligne pour le monde.
Nous devenons conscients qu’il y a du bénéfice dans ce que je peux faire comme individu, mais si nous voulons le faire collectivement, cette énergie peut se multiplier et s’amplifier pour atteindre les autres et donner espoir dans l’avenir. Je vois que la question d’espoir en ce temps de crise est très importante. Quand nous avons l’espoir dans le futur, notre immunité est renforcée, mais quand nous perdons espoir, nous succombons à la maladie et il y a des conséquences désastreuses. Je vois que les gens sont conscients que la prière et la méditation ne gardent pas seulement les vibrations de l’espoir dans notre cœur, mais nous pouvons aussi partager cela avec tous. Nous réalisons également que nous sommes vraiment une famille mondiale. Quelque chose commence dans un pays pour se répandre à travers le monde.
Le virus ne respecte aucune différence ou frontière.
Nous y sommes vraiment ensemble, dans le même bateau, et nous sommes tous responsables de ce qui se passe. Je ne suis pas seul. Nous sommes aussi conscients du lien spirituel qui nous unit en tant que famille mondiale. Nous avons parlé de famille mondiale, mais maintenant nous en voyons la réalité. Je crois que c’est une chose que les gens prendront de la pandémie. Il y a cette réalisation que nous pouvons beaucoup partager ensemble, même lorsque nous ne nous rencontrons pas physiquement, nous pouvons partager notre amour par nos yeux, nos actions aimables et nos vibrations et sentiments.
Nous apprenons donc ce nouveau langage de l’amour et du silence.
Nous comprenons aussi qu’il est très important de ramener Dieu au centre de notre vie. Avec cet amour, cette attention et compassion qui viennent de Celui qui est là-haut, nous pouvons canaliser cet amour, cette attention et compassion afin que plusieurs autres puissent aussi en faire l’expérience. J’espère que beaucoup d’autres en deviendront conscients. Une autre grande leçon a été que nous pouvons simplifier nos besoins. Nous n’avons pas besoin d’autant de nourriture et de divertissement. Ce dont nous avons besoin, c’est l’un de l’autre et mon sentiment est que le lien va rester et maintenant s’intensifier. Nous nous souviendrons que c’est notre famille qui compte le plus et l’amour que nous pouvons donner à nos famille est une base très importante pour l’amour dans la civilisation entière. C’est une occasion pour l’amour et la compassion de retourner dans nos vies.
Vous nous avez tant donné de quoi réfléchir dans cette réponse. Vous avez parlé du soin des travailleurs de première ligne. Le mot qui me vient est « bonté ». Nous voyons une pandémie de bonté et cela semble ouvrir le cœur de l’humanité d’une belle manière profonde. L’autre point si important est que « moi et mes actions, avons une conséquence sur les autres ». Je dois donc laver mes mains, non seulement pour me protéger, mais je pense aux autres et à leurs besoins. Je vois cette expérience se répéter à travers le monde et nous nous rapprochons en tant que famille mondiale.
Revenons à « garder son calme en cas de crise ».
Quand devons-nous rester calmes, en tant que bonne réponse spirituelle? Quand devons-nous répondre à l’appel à l’action, en nous impliquant, en faisant des choses, en étant actifs sur le champ de l’action?
Ce n’est pas vraiment un ou l’autre. Mais une question de séquence. Pour avancer vers une destination, nous devons placer un pas devant l’autre et ainsi, nous atteindrons assurément la destination. Je dois donc aller dans mon esprit et y arrêter la peur et la confusion, les pensées négatives de blâmes ou de plaintes… Quand je reviens à l’être intérieur, ce que je suis vraiment, dans cet espace en moi, je trouve le silence, la paix et le calme. Puis de cet espace de calme, je comprends plus clairement quelles sont mes responsabilités. De qui suis-je responsable? Ma famille immédiate et mes collègues, mais par-dessus tout, ma communauté, le monde. Quand je comprends la séquence de ce que je dois faire, je peux commencer à entrer en action. Si je suis anxieux, confus ou craintif, je ne peux même pas prendre soin de moi, nous oublions la famille et plus encore. Je n’en ai pas la capacité. Trouver le calme à l’intérieur me permet de développer ma capacité à grandir et je peux utiliser ce pouvoir intérieur et les qualités que j’ai pour maximiser mon potentiel de la meilleure manière possible.
Le calme est le point de départ.
Je ne peux pas commencer dans un tourbillon. Si j’ai peur et que je parle à mes enfants, à mon conjoint, etc., j’ai besoin de leur soutien, je ne peux pas les soutenir. Mais si je calme la peur en comprenant que ce n’est pas la fin du monde, il reste du temps, je comprends ce que je dois faire. Ainsi, au lieu de générer un sentiment de peur autour de moi, je suis en mesure de rester calme et de ne pas avoir peur, d’être positif et d’approcher ma famille avec cette conscience. Je répands alors le calme. Si j’ai peur, j’infecte les autres avec la peur. Dans un état de calme, je décide ce que je dois faire, comment et quand, je partage ceci avec ceux qui m’entourent grâce aux vibrations et cela déborde dans le monde. Puis d’autres qui partagent les mêmes idées commencent à faire la même chose.
Puis-je retourner une étape en arrière… La réalité de plusieurs présentement est qu’ils vivent une situation qui les a conduits le plus loin possible du calme. Je constate que les problèmes de santé mentale augmentent et que la violence domestique augmente énormément. Nous voyons ce qui était déjà faible se briser. Les distractions normales des gens ne sont plus là pour eux et ils sont face à eux-mêmes. Quelqu’un qui vit dans un petit appartement, qui a perdu son emploi, qui a peut-être quelqu’un à la maison qui n’est pas heureux et qui s’en prend sur tous ceux qui l’entourent… Pouvez-vous nous donner une première étape concrète que nous pouvons utiliser quand nous sentons que nous sommes devenus nos problèmes, et que nous sommes incapables de sortir de l’abîme dans lequel nous nous trouvons. Quelle est la première chose à faire pour arriver à cet endroit de calme dont vous parlez?
Oui, je suis d’accord et consciente des problèmes et situations qui sont soulevés.
Je dois simplement me poser la question : Qui suis-je?
Cela peut sembler philosophique. Mais je ne peux résoudre de problème horizontalement. Je dois trouver une autre manière d’approcher cette énorme crise en élevant ma conscience. Je veux utiliser ici le mot « observateur ». Nous devons s’extirper de la situation. Il y a plusieurs années, une travailleuse sociale m’a dit qu’elle était « aux prises » d’une situation avec une famille. Pour s’en sortir, elle s’est placée en observatrice pour regarder « à l’intérieur », par la fenêtre. Avec ce détachement, elle pouvait mieux comprendre ce qui se passait et était plus en mesure de réintégrer la scène pour aider les personnes impliquées.
Ma suggestion est d’essayer d’appliquer un peu cette technique.
Physiquement je suis ici, mais ce que je peux faire est d’élever ma conscience au-dessus pour voir ce qui se passe dans le monde et ma famille. De cet endroit idéal d’être au-dessus et voir ce qui se passe, je peux beaucoup mieux voir. La deuxième étape… rester calme et continuer mon observation. Troisième étape… puis-je revenir dans cette situation avec le même calme dont je fais l’expérience quand je suis au-dessus. Essayez cette expérience. Élevez-vous, regardez ce qui arrive, sentez-vous calme… puis ramenez ce calme dans le cadre, l’image. Juste un instant de calme apportera une énorme quantité d’énergie à ramener dans votre vie d’actions. Quand nous nous engageons avec ce calme intérieur, cela permet d’adopter une attitude différente, plus de sens et aussi plus de rire de nous-mêmes, et cela aidera les autres à sourire aussi.
Ce sont des étapes concrètes que nous pouvons tous utiliser. À certains moments, les gens se rendent dans des endroits pour obtenir du soutien, tels que les lieux de culte, ou les théâtres, les restaurants aussi, les endroits où nous nous réconfortons, etc. Ils sont tous fermés actuellement. Nous sommes tous enfermés dans notre propre expérience. Cela fait réaliser à plusieurs l’importance de comprendre ce qui se passe dans leur esprit. Le soutien dont nous avons besoin en ces temps vient en gérant notre monde intérieur. Puis cela nous amène à l’importance d’établir une pratique régulière qui peut fournir une richesse de sentiments et d’expériences que nous pouvons utiliser en cas de besoin.
Pouvez-vous nous parler un peu de comment pratiquer la méditation pour nous aider à développer cela avec le temps?
Vous avez raison. Si aujourd’hui on s’’y exerce parce qu’on en a besoin et qu’on continue après la crise, cette pratique nous sera très utile. Si nous sommes inconstants avec quoi que ce soit, nous perdons l’élan et la capacité de maîtriser les compétences ou les jeux que nous apprenons… Qu’il s’agisse de cuisine, de conduite, d’informatique, etc. Que cela demande peu ou beaucoup de temps. C’est la même chose avec nos pensées. Peut-être que c’est maintenant un point critique où beaucoup profitent du confinement pour explorer et voir ce qui se passe dans leur esprit. Nous n’avons pas réalisé que nous sommes les maitres de nos pensées. Quand j’en viens à comprendre mon identité spirituel comme un être de lumière irradiant de l’intérieur du front. En méditation, je me le rappelle et m’en souviens. Dans cette conscience d’être la lumière que je suis, même si je vois des pensées m’arriver ici et là, je peux maintenant apprendre à créer une pensée d’une manière belle, édifiante, fructueuse et noble.
Voilà ce qu’est la méditation.
Je pense à mon état originel et les qualités de l’âme pour m’aider à faire l’expérience de ces qualités naturelles d’amour, de vérité et de paix, qualités qui se trouvent en moi. Elles sont disponibles dans chaque être humain. J’ai juste à m’exercer et à m’asseoir pour réfléchir et leur permettre de monter. Au départ, cela nécessite de la concentration. Au début, on s’assoit pendant 5 ou 10 minutes et en en prenant goût, on peut le faire plus longtemps. Que je sois le générateur et le créateur de mes pensées, pas seulement réagir à la vie. Je peux apprendre à faire cela; c’est la pratique qui m’aidera en temps de crise ou dans la vie ordinaire. Si je m’exerce en temps de crise, je peux aider les autres à trouver des solutions aux problèmes. En suivant la trace de mon esprit en temps calme et paisible, je peux m’élever et peux progresser rapidement sur mon voyage spirituel et aider les autres à faire de même. Nous devons donc continuer à le faire tous les jours. Sachez que la méditation n’est pas simplement faire le vide de l’esprit, ce qui est très difficile, mais c’est générer des pensées pures au sujet du soi éternel.
Oui, c’est vrai puisque tout peut nous être enlevé, mais nous resterons toujours avec nos pensées. Elles sont nos compagnes constantes. Le nombre de cours de méditation en ligne pendant le confinement est passé de 10 à plus de 1 000, donc beaucoup saisissent cette opportunité maintenant. Il semble que, dans cette souffrance et la pandémie, et les pensées qui viennent avec, se trouve l’émergence de quelque chose de très nouveau et de beau. Une sorte d’alchimie à l’œuvre.
Une nouvelle normalité émerge.
Pourriez-vous dire quelque chose sur la transformation de ces nouvelles expériences, ces pépites d’or? Et comment peuvent-elles nous transporter à travers ces moments difficiles?
En chinois, le mot pour « crise » est le même que pour « opportunité ». C’est une bonne idée de faire une liste de tout ce dont je peux être reconnaissant au niveau extérieur, comme la nourriture, un toit sur ma tête, etc. Et puis réfléchir aux choses subtiles, comme être entouré d’amour. Bien que ce soit une situation très étonnante que nous n’avons jamais expérimentée, il y a matière à être reconnaissants car les choses pourraient être pires. Même si mes pires craintes se sont concrétisées et que je suis à la toute fin du scénario, que je me demande ce que j’apprends présentement… et à quoi je peux m’accrocher… Devenir conscient de ces choses est très significatif. Il est important d’en comprendre la signification. Exemple : Si j’ai une crevaison, comment répondre? En étant reconnaissant que cela se passe sur la rue plutôt que sur une autoroute à grande vitesse.
Quand nous sommes reconnaissants, nous pouvons être positifs, aimants et bons envers les autres.
Quand je suis ingrat et détestable envers ce qui arrive, les choses se détériorent. Si je laisse la gratitude et la compassion émerger, je serai en mesure de faire quelque chose de bon et de sensé pour moi-même et pour les autres. Si nous emportons cela avec nous hors de la crise, il y aura beaucoup d’avantages. C’est maintenant une période de transition. C’est un rapprochement du très négatif et du réveil de gentillesse et d’espoir et le sentiment que tous sont dans le même bateau. L’humanité tout entière est sur la bonne voie où nous pourrions travailler en coopération et ensemble, au lieu d’entrer en conflit les uns avec les autres. La prochaine étape de l’évolution doit être que notre bonté se manifeste et s’exprime de manière significative. Le virus s’est présenté comme la pointe de l’iceberg, mais l’obscurité est avec nous depuis longtemps. Nous avons réalisé comment nos vies étaient devenues mécaniques. Il est maintenant temps de voir que tout le monde doit coopérer et créer un monde meilleur, les uns pour les autres.
Médicalement, « crise » signifie le point critique entre la guérison ou pire… la mort. Ceci étant une crise mondiale, quel est votre pronostic pour le patient mondial? S’en remettra-t-il ou mourra-t-il? Comment voyez-vous l’avenir se dérouler? Quelles sont vos réflexions sur le pronostic pour le patient mondial? Va-t-il récupérer ou s’il va continuer à se détériorer et ensuite mourir?
Je peux voir que ceci est le début d’une période de grand défi.
Je crois qu’il reste encore quelques défis. Peut-être qu’une crise économique se présentera et cela peut nous amener à s’arrêter dans la foulée pour penser à la vie d’une manière plus profonde. Au-delà de cela, je vois un éveil, une nouvelle compréhension et une nouvelle conscience et cela sera la « nouvelle norme ». Quand notre potentiel le plus élevé est exprimé, il s’épanouira et une nouvelle ère nous attend. Donc un petit moment d’obscurité pour nous faire changer ce qui n’est pas encore changé, puis au-delà de l’aube, un temps dans lequel s’expriment les qualités les plus exquises de l’humanité.
C’est une belle vision à garder dans nos pensées et dans notre cœur… et que de cette situation d’urgence, naît une nouvelle émergence…
Lien pour accéder à la vidéo de cet interview en anglais : https://www.youtube.com/watch?v=QW4cA4-2YOY
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